Dans le milieu des opérateurs économiques burkinabè, une question brûle les lèvres : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank, serait-il l’instigateur des attaques médiatiques contre Monsieur Mahamadou Bonkoungou, fondateur du groupe EBOMAF ?
Une enquête est en cours pour éclairer cette affaire qui divise et interroge.
Introduction
Depuis plusieurs semaines, une rumeur persiste dans les cercles économiques burkinabè : Idrissa Nassa, PDG de Coris Bank, serait-il derrière les articles diffamatoires ciblant Monsieur Mahamadou Bonkoungou et son groupe EBOMAF ? Si, pour l’instant, il ne s’agit que d’interrogations, leur récurrence pose question.
Certains s’interrogent : Monsieur Idrissa Nassa aurait-il déclaré une guerre internationale contre le groupe EBOMAF pour devenir le seul opérateur burkinabè influent auprès des Chefs d’État Africains ? Pour l’heure, aucune preuve ne confirme ces allégations, mais leur persistance justifie une enquête approfondie.
1. Une rumeur qui s’installe
Dans les milieux économiques burkinabè, la question est sur toutes les lèvres : Qui finance les attaques contre EBOMAF ? Certains indices, bien que ténus, pointent vers Monsieur Idrissa Nassa. Mais attention : il ne s’agit que de spéculations, et non d’affirmations vérifiées.
Pourquoi cette hypothèse ?
• Coris Bank et EBOMAF sont deux géants économiques du Burkina Faso, en compétition directe ou indirecte sur plusieurs marchés.
• Les deux hommes incarnent une réussite africaine, mais leur relation reste opaque.
• Certains observateurs évoquent une stratégie de domination : Idrissa Nassa chercherait-il à affaiblir EBOMAF pour renforcer sa propre influence ?
Mais rien n’est confirmé. Notre rédaction ouvre une enquête pour séparer le vrai du faux et éclairer l’opinion publique.
2. Un contexte politique et économique crucial
Le Burkina Faso, sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, jouit d’une bonne presse internationale. Le pays est perçu comme un modèle de résistance et de souveraineté, notamment grâce à des entrepreneurs comme Messieurs Mahamadou Bonkoungou et Idrissa Nassa.
Pourtant, cette affaire jette une ombre sur cette image.
• EBOMAF et Coris Bank sont des fiertés nationales et africaines. Leur rivalité, si elle existe, ne devrait pas nuire à l’unité du pays.
• Le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré doit inspirer la solidarité entre les opérateurs économiques, et non alimenter des divisions.
• L’Afrique a besoin de modèles unis, pas de guerres économiques entre ses champions.
3. « Il n’y a pas de fumée sans feu »
Un proverbe populaire
affirme qu’ »il n’y a pas de fumée sans feu ». Si des rumeurs aussi précises circulent, c’est qu’il existe au moins un problème :
• Soit une réelle tension entre Monsieur Idrissa Nassa et Monsieur Mahamadou Bonkoungou, pour des raisons économiques, personnelles ou stratégiques.
• Soit une manipulation visant à discréditer l’un, l’autre, ou les deux.
Dans les deux cas, la situation est grave. Elle révèle un manque de transparence et une fragilité dans les relations entre les acteurs économiques burkinabè.
4. Un appel à la raison et à l’unité
Il est urgent que des voix s’élèvent pour:
• Clarifier les relations entre Coris Bank et EBOMAF.
• Mettre fin aux rumeurs qui nuisent à l’image du Burkina Faso.
• Éviter que cette affaire ne dégénère en une crise ouverte.
Le Burkina Faso mérite mieux. Ses entrepreneurs doivent se soutenir, pas se saboter.
5. Conclusion : une enquête en cours
Notre rédaction poursuit ses investigations pour :
• Recueillir des témoignages et des preuves.
• Identifier les éventuels commanditaires des attaques contre EBOMAF.
• Comprendre les motivations derrière cette campagne.
Affaire à suivre…





